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Cette page contient une liste de Livres  ainsi que de vidéos dont j'ai eu connaissance.

Livres

~ Médecine fœtale et échographie en gynécologie n° 41 de mars 2000 – 100 F

disponible auprès de Mme Laucar au 01 47 00 67 14 ou fax 01 47 00 69 99

e-mail :  medfet@performances-medicales.com

c’est une revue médicale, mais tout à fait accessible.

Tout le dossier est sur l’IMG, textes de loi, déroulement… décrivant ce qui se passe dans le service du Dr Dumoulin à Lille.

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~ Mourir avant de n’être ?

Frydman R. Flis-Treves M. éd. Odile Jacob - 114 F sur www.decitre.fr

ISBN 2-7381-0472-X

~ Le Fœtus, le nourrisson et la mort  (je ne l'ai pas lu)

 Auteur(s) : ZONABEND, Françoise/ MOREL, Marie-France/ COLLECTIF,/ LE  GRAND-SEBILLE, Catherine

                 Editeur : HARMATTAN (EDITIONS L')

                 Paru le : 04/12/1998

                 Isbn : 2-7384-7194-3

                 Prix public : 130.00 FF. TTC

                 Prix Internet DECITRE : 123.50 FF. TTC

                 Disponible chez l'éditeur.

                 Broché/ 234 Pages/ 0.3450 Kg

                 Prix de vente détaxé export : 116.71 FF HT

                 Site Editeur : www.editions-harmattan.fr

Pour la première fois des chercheurs et des praticiens sont réunis pour réfléchir à plusieurs voix à l'évolution des conduites de deuil lors de la disparition prématurée de fœtus ou de nourrissons. S'attachant à comprendre l'effacement des rituels ou leur transformation dans nos propres sociétés, leurs considérations ont porté tout à la fois sur les traitements pratiques et symboliques appliqués jadis et ailleurs, et sur l'émergence de cette mortalité comme catégorie spécifique en démographie et en droit. Ces morts, qui peuvent survenir pendant la gestation ou juste après la naissance, tendent-elles aujourd'hui à se rejoindre dans l'inacceptable et l'indicible alors qu'un ensemble de paroles, de gestes et d'actes permettrait de rendre pensable et visible ce malheur ? Les regards nuancés des ethnologues, des historiens, des juristes, des psychanalystes, des médecins viennent éclairer et enrichir l'analyse des problématiques propres à chaque discipline. Une telle lecture plurielle, argumentée et inédite par son ouverture, a permis que se fassent jour les difficultés grandissantes rencontrées par ceux qui soignent et la grande souffrance des familles qui demandent une reconnaissance symbolique de leur statut de parents d'enfants décédés. Dans nos sociétés occidentales contemporaines, la mort du fœtus ou du nourrisson quittera-t-elle alors le domaine de l'innommable pour donner à penser, à dire, à partager ?

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 ~ Saskia ou le deuil d’un bébé Distilbène  (je ne l'ai pas lu)

                 Auteur(s) : LOF, Anne-Françoise

                 Editeur : FRISON ROCHE (EDITIONS)

                 Paru le : 21/10/2000

                 Isbn : 2-87671-366-7

                 Prix public : 90.00 FF. TTC

                 Prix Internet DECITRE : 85.50 FF. TTC

                 Disponible chez l'éditeur.

                 Broché/ 89 Pages/ 0.1450 Kg

                 Prix de vente détaxé export : 80.80 FF HT

  Mourir de naître à 4 mois et demi de grossesse, victime d'un médicament : le Distilbène. Mourir si tôt de ne pouvoir être présenté dans le livret de famille. Et pourtant... une vraie mort, un vrai deuil, un temps de larmes que personne n'oserait contester sous prétexte que le corps ne serait que celui d'un tout-petit décédé avant terme. Le " droit " au chagrin pour que la joie, un jour, soit possible. Autrement dit, vivre un deuil périnatal. Parce que la mère de Saskia a pu bénéficier d'un accompagnement médical remarquable dans un grand centre hospitalier lillois, pionnier en France pour le respect du corps des tout-petits décédés, elle a voulu aussi témoigner sur un sujet qui, aujourd'hui encore, suscite de nombreux non-dits, incompréhensions et maladresses. Ce récit devrait trouver un écho certain auprès de ceux et celles qui ont eu à traverser ou traversent un deuil d'enfant non reconnu, et être riche d'enseignement après de ceux qui se trouvent à leurs côtés : soignants, aumôniers d'hôpitaux, famille...

Les droits d'auteur sont entièrement reversés à l'Association Vivre son deuil Nord Pas-de-Calais.

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~ Les annales du congrès de Bruges « Les deuils d’enfants : de la conception à la naissance ».

Association « VIVRE SON DEUIL » - 7, rue Taylor - 75010 PARIS - Tel. : 01 42 38 08 08 - Fax : 01 42 38 08 88

Site internet : http://www.vivresondeuil.asso.fr

E-mail : vivresondeuil@vivresondeuil.asso.fr

Revue Etudes sur la mort - Thanatologie n°119

sous le titre : "Les deuils d'enfants de la conception à la naissance" 

aux Editions L'Esprit du temps.

~ L’enfant interrompu de Chantal Haussaire-Niquet Ed. Flammarion 98F

Je l’ai, c’est le livre qui nous a le plus aidé. C’est par lui que nous avons rencontré Maryse Dumoulin. C’est par lui également que nous avons appris que notre petite fille pouvait être inscrite sur notre livret de famille.

Le diagnostic anténatal permet aux futurs parents d'en apprendre beaucoup sur leur enfant avant qu'il ne naisse. Mais que faire quand on découvre brutalement chez son bébé de graves anomalies incompatibles avec la vie ? Chantal Haussaire-Niquet a connu cette expérience et raconte ce qu'aucune mère n'avait encore osé écrire, son itinéraire depuis l'annonce du drame jusqu'à l'interruption médicale de grossesse et son retour à la maison.

Chantal Haussaire-Niquet est conseil en communication. Elle assure par ailleurs au sein de l'Association François-Xavier Bagnoud, à Paris, la responsabilité du développement d'un accueil et d'un accompagnement auprès des familles touchées par un deuil périnatal.

Éclairé par l'avis de la psychanalyste Geneviève Delaisi de Parseval et du médecin Maryse Dumoulin, ce récit met aussi en lumière des questions trop rarement soulevées : comment le médecin peut-il annoncer un diagnostic pessimiste ? qu'en est-il de l'accompagnement des parents confrontés à la décision d'une euthanasie fœtale ? L'interruption de grossesse s'apparente-t-elle à un véritable accouchement ? Le fœtus souffre-t-il ? Les parents peuvent-ils - doivent-ils voir le corps de leur enfant mort ? Que fait-on de sa dépouille ? Peut-on durablement accepter les termes d'une loi qui refuse la déclaration à l'état civil de certains de ces bébés ? Comment le deuil se fraye-t-il un chemin au travers du déni social et juridique ?

Geneviève Delaisi de Parseval nous le rappelle dans sa préface : "On ne fait son deuil que du "connu" (...). Il importe de rattacher les "bébés interrompus" à une généalogie et, à défaut de leur conférer le statut de sujet, il est nécessaire de leur reconnaître pleinement la qualité d'être humain."

(Tout ce qui est écrit au dos du livre).

 

L’adresse de l’Association François-Xavier Bagnoud :

 7, rue Violet                          Tel. : 01 44 37 92 00

75015 PARIS                       Fax : 01 44 37 92 01

                                             Permanence téléphonique médicale : 01 44 37 92 02

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~ La Tendresse pour tout bagage de Denis Ledogar Ed. Presses de la reconnaissance 99 F

L'accompagnement au pas à pas des personnes malades ou en fin de vie : telle est la passion qui anime Denis Ledogar, ancien infirmier anesthésiste devenu aumônier. "Dans mon cœur de prêtre, il y a beaucoup de place...", nous dit-il. Et de la place, il en faut, si l'on veut garder la force d'aider au quotidien les malades, les personnes âgés, et faire un bout de chemin auprès des nombreux enfants et de leurs familles, pour accepter la mort et l'accueillir. Avec la tendresse pour tout bagage - quelques mots murmurés, une main tendue vers un visage, l'esquisse d'un sourire - il mène un combat contre le désespoir. Chaque jour, on lui demande des miracles; il n'a que cette forme d'amour "à offrir en partage, au jour du grand voyage", comme le chante Jacques Brel. Dans cet ouvrage en forme d'autoportrait, Denis Ledogar retrace avec pudeur les grandes lignes de son existence, depuis son enfance dans un petit village d'Alsace, une vie de famille déchirée entre la maladie, la détresse et, malgré tout, l'espérance. Face à la souffrance, la foi ne va pas de soi : c'est pourquoi l'auteur, s'interrogeant sur son rôle , prend souvent Dieu à parti. Brossant un tableau de la vie quotidienne à l'hôpital de Hautepierre, dont il est aumônier depuis 1988, il pose un regard profondément humain sur les circonstance et les enjeux de la fin de vie. Exprimant ses doutes face à la science et face à la douleur, il livre cette conviction ultime, qui lui redonne chaque jour la force de poursuivre son chemin : chaque mot d'amour est une victoire sur la souffrance et la mort. 

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~ Les deuils périnataux Geneviève Delaisi de Parseval

Geneviève DELAISI de PARSEVAL

Psychanalyste

Attachée au Service de Gynécologie-Obstétrique

De l’Hôpital Saint-Antoine 

                                        http://perso.wanadoo.fr/assas-editions/et/delain.htm

Lire le texte


Vidéos

~  L'Association Vivre son Deuil a réalisé une "compilation" de tous les reportages en sa possession; il est possible de l'emprunter au secrétariat de l'association Nord - Pas de Calais :

27, rue du Docteur Legay, 59110 La Madeleine ; tel.: 03 20 44 63 52

~ « La naissance oubliée ? » un film de Réjane Gonin-Varrod – 149 F frais de port inclus à commander à Citadelle Production – 48mn - 1999 - 8, rue Duployé 38100 GRENOBLE

un film sur les morts  périnatales (décès d'enfants au 2e ou au 3e trimestre de la grossesse) tourné en partie à l’hôpital de Lille

 ~ un autre reportage de 25 mn sur Arte le 27/11/00 à 20.15, « L’adieu aux anges ». je l'ai enregistré

 Une naissance est a priori synonyme de bonheur. Que faire quand c'est la mort, et non la vie, qui est au rendez-vous ?

      Réalisation : Laurence Serfaty (2000-26mn) Coproduction : ARTE G.E.I.E., Capa ARTE G.E.I.E.

 Fausses couches, interruptions médicales de grossesse, enfants mort-nés : ces malheurs laissent en général les parents à leur chagrin, à leur solitude et, souvent aussi, à leur sentiment de culpabilité. D'autant que les parents ne savent pas toujours ce qu'il advient de leur enfant, parfois évacué de l'hôpital sous l'étiquette de "déchet anatomique". Certains médecins, sages-femmes ou autres soignants estiment primordial que les parents, même si c'est douloureux, voient leur enfant, qu'ils le nomment et puissent faire leur deuil. Pour que le "non-né" s'inscrive dans l'histoire familiale. Au CHR de Lille, un service fonctionne depuis plusieurs années pour que les parents ne soient plus seuls avec leur désespoir et qu'ils puissent ritualiser le décès de leur enfant, s'ils le souhaitent. Avec une infinie pudeur, Laurence Serfaty a pu constater l'efficacité psychologique d'un tel accompagnement auprès de parents qui voulaient absolument leur enfant...

 ~ Zone Interdite du 26/11/00 sur les IMG. Je l’ai enregistrée

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